Poème d’entre-deux-années

 
Dans cet espace médian, cette semaine située entre ces deux années, j’ai commis ce poème afin de célébrer l’authentique de l’antique et intime émotion et la valeur de l’intuition.
 
« Il en est de passées, il en est de meilleures
Mais l’année qui s’enfuit dans l’entêtant mistral
Rappelle que la flamme brûlant dans le coeur
Ne s’éteint jamais, quelle que soit l’issue du bal.
  
Le livre de la vie, sur l’infini futur,
T’ouvre la page d’une nouvelle écriture.
Ivre de la vie et en quête d’aventure
Reçois en toi l’enfant rieur à l’oeil azur,
  
Et prends la voie des mages…
L’intuition, denrée rare,
Est souvent mise en cage
Au profit des barbares.
 
Guy Lesoeurs, le 26 décembre 2010

J’entends par le terme « barbares », non pas l’étranger à ma langue et à mes coutumes (sens initial des Grecs) mais ceux qui sont inhumains et qui ne respectent ni les personnes, ni les sentiments, ni les émotions et qui saccagent tout ce que l’esprit humain construit.

 

 Il y a la barbarie vraie, celle qui tue, massacre, détruit pour le plaisir mais  il existe aussi une barbarie commune qui est aussi faite de certitudes, d’intolérance et de prise d’otage. Ainsi est barbare celui qui applique jusqu’au bout sa logique et qui ne tolère pas l’incompréhension. Plaidoyer contre les usurpateurs, les potentats de tous ordres, les sytèmes totalitaires qui sévissent dans le monde, Prière pour que tous les mesquins, les profiteurs retrouvent leur bon sens,

 

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