Bonjour, amis et amies abonnés fidèles de mon blog. Après ces vacances, je reprends ma plume.
Laissez moi pour fêter ce retour le plaisir de vous informer qu’après des années de coaching entre la région PACA et Paris, (TGV phile) j’ouvre un cabinet à Maussane les Alpilles où je reçois sur RV.
Ainsi pour ceux et celles qui désirent faire le point sur leur vie et « mieux être au monde » en restant eux-mêmes, je peux être le consultant-senior qui apporte une écoute et un soutien en toute confidentialité.
Comme vous le savez, j’accompagne depuis 10 ans les personnes et les groupes. Je m’appuie sur ma pratique du coaching et du développement personnel, sur mon expérience du management en entreprise ainsi que sur ma formation universitaire en psychologie.
Mon métier est de vous aider à exploiter votre valeur authentique et à redonner du sens à vos projets personnels, familiaux ou professionnels.
Je mets à votre disposition l’expérience d’un senior avec une formation universitaire psychologique et humaniste pour un accompagnement adapté et discret.
Par ailleurs, je continue d’être supervisé dans ma pratique comme doivent le faire les coachs dignes de ce nom.
Je poursuis mon cursus psychanalytique en troisième année aux Instituts Freudiens de Provence, à l’Ecole Propédeutique de Connaissance de l’Inconscient (5 ans) et à la Société de Psychanalyse Freudienne (10ième année d’auditeur libre). Je fais partie de l’Association Internationale d’Ethnopsychanalyse et de la Société des Neurosciences.
Mon cabinet professionnel est situé Route de Saint Rémy (D5), Quartier Monblan. 13520 Maussane les Alpilles. Sur R.V. Tel : 06 50 30 09 80 et 04 90 18 24 43.
I should add that I am fluent in English, which is good to be known by the english speaking « provençaux » who need help.
Mail guy.lesoeurs@kerux.fr Blog www.guylesoeurs.com
5 janvier 2009 à 04:54 — EditerCher Monsieur,
je me permets de rectifier deux trois choses que vous avez écrit en commentaire de mon ouvrage : “je hais le développement personnel” paru chez Eyrolles, titre provocateur je le concède.
1) Cet ouvrage parle essentiellement de la construction de l’identité, le coaching ne représente qu’une partie sur quatre
2) Le succès du coaching s’est établi sur la crise d’identité comme une entreprise de formatage, vous omettez de parler du chapitre sur la prétendue éthique du coaching (?).
3) La créativité n’a aucun rapport avec ce que vous définissez comme ressort essentiel du coaching :”Ainsi les personnes ou les groupes qui souhaitent progresser et gagner leur place ” pour vous citer à mon tour…
Il ne s’agit nullement de faire le procès du coaching, il répond à une demande, mais d’analyser un symptôme de notre société.
Très cordialement
Robert EBguy
10 janvier 2009 à 11:27 — EditerLa contemption des coachs va avec la mode du coaching et une certaine représentation qu’en donne la TV réalité, représentation qui conduit certains d’entre nous à s’interroger sur le mot de “coach” et ses diverses connotations. Est-il toujours adapté à la descriotion de l’activité de ceux d’entre nous qui oeuvrent non pas à asservir l’individu mais à le libérer, à le rendre auteur de sa vie, à désincarcérer ses représentations du discours dominant forgé par les grandes entreprises clientes du CCA en utisant les résultats des focus groups organisés à prix d’or par le CCA.
Il y a du pognon à se faire et des livres à vendre en cassant du coach. J’étais intervenu par téléphone dans l’émission de lynchage organisé d’Isabelle Giordano sur France Inter pour dire au psychanalyste Roland Gorri qu’il employait pour parler des coachs exactement les mêmes arguments que les curés au début du XXème siècle pour contempter les psychanalystes. J’avais publié une tribune dans “l’Express” au moment de l’émission pathétique “coachs, gourous et guérisseurs” sur Antenne 2, mais finalement, maintenant, je me suis calmé car je sais qu’il s’agit de se faire un peu de notoriété et un peu de droits d’auteurs aux dépens d’un phénomène dont un effet de mode a décollé progressivement la représentation caricaturale de sa pratique réelle.
Faut-il baisser les bras ? Certainement pas. Mais nos clients ne sont pas dupes. Ils savent très bien qu’un ouvrage dont le titre commence par les mots “je hais…” ne peut traduire que la relation douloureuse de l’auteur avec son histoire dominante personnelle, relation qu’il a exprimée par ailleurs en choisissant une activité où il exerce exactement ce qu’il reproche à la cible “extérieure” qu’il croit s’être choisie. Haut les coeurs, collègues, plutôt que haut le coeur !